martes, 6 de marzo de 2012

Journalisme peu éloquent

Un grand dommage que le journalisme, cette profession aussi passionnante qu'ardue, ne soit plus aussi éloquente que son habitude, pour rendre compte de la souffrance de peuples pris entre le marteau et l’enclume. Des élans naïvement révolutionnaires d'un côté et de visées autrement moins nobles de l’autre, qui font l'objet de propagandes à la une, lorsque les actions stratégiques internationales l'exigeaient ainsi.

Après l'échec cuisant et tragique de l'ordre financier mondial, il serait temps pour le journalisme de se libérer du joug de la manipulation et de son capital. Heureusement que certains journalistes continuent à nous faire parvenir des vérités à la pointe de leurs plumes, souvent au péril de leurs carrières si ce n’est de leur vies.

Le printemps arabe promet de provoquer tempêtes et tonnerres à la saison d'hiver mais les médias, semblent préférer rester suspendus à un certain arôme de jasmin.

Abdeslam Baraka

Rabat 6 Mars 2012

domingo, 26 de febrero de 2012

Redes sociales e impacto económico sobre los Estados nacionales

Las redes sociales, no son entidades sin ánimo de lucro. Algunas cotizan en bolsa y pagan sus impuestos en el Estado de su sede social. Deberían pues, ser sometidas a las leyes impositivas de los Estados nacionales al prorrata de los clientes (obreros no remunerados o face-bookers) que tengan en cada pais, en el marco de su actividad de servicios. 

La libertad de expresión es una cosa, eludir los derechos y obligaciones a los que están sometidos el resto de los ciudadanos del mundo es otro tema. 

Todas las otras multinacionales tradicionales pagan impuestos en los Estados donde tienen actividad. No hay lugar pues, a excepciones por motivos de supuesta virtualidad.

La cuestión  debería, al menos, llamar la atención de la comunidad internacional y ser objeto de un nuevo acuerdo en el marco de Naciones Unidad que regule el virtuoso desarrollo de las técnicas de comunicación y su impacto sobre las economías de los Estados nacionales. 

Los tiempos han cambiado y todo indica que los Estados nacionales siguen aferrados a reglas obsoletas perdiendo ademas la mano, frente a una crisis económica moderna y virtual a la que tratan de hacer frente con medios y remedios rudimentarios. Los mercados accionan y reaccionan al segundo, los tiempos de los Estados, son otros.  

A este ritmo los ingresos fiscales nacionales prometen diluirse y esfumarse en los meandros de las redes infinitas de Internet.

Se trata sobre todo de fijar un rumbo que todos buscan y que nadie encuentra. Respetar a los derechos nacionales daría a la globalización una legitimidad que muchos cuestionan. La nueva globalización ganaría, al menos, siendo mas justa que la situación ante.

Abdeslam Baraka

26 de febrero 2012

miércoles, 22 de febrero de 2012

Euro, bonjour les dégâts

Faire de l'Euro un tabou est une erreur. L'euro ne devait être qu'un maillon dans un processus global d’intégration politique, économique, fiscale et sociale. Il n'y a jamais eu de demi-mesures possibles dans les projets d’union. 

Le projet européen n'a pas prévu de marche arrière mais il n'a pas non plus pris en compte l'arrêt de son évolution au niveau d'une monnaie unique idéale pour les uns et pesante pour les autres. 

Le résultat est plausible et ne réclame aucune expertise spécifique. Soit que le projet européen avance vers plus d'intégration soutenue, soit qu'il s’effrite et échoue. 

Le problème est qu'en temps de crise, on n'est pas enclin à prendre des décisions à terme, mais plutôt à réagir aux difficultés au jour le jour et dans ce cas, bonjour les dégâts.

Abdeslam Baraka
22 Février 2012

martes, 21 de febrero de 2012

Las soluciones que parecen ser buenas para unos no siempre sirven para otros

España no es Grecia. Es nuestro vecino. Su estabilidad nos interesa y sus dificultades nos preocupan. España no es Grecia, su estructura económica es mas fuerte y creíble. Por lo tanto el peso de su deuda en la zona euro sería mucho mas incisivo. De la misma manera, su configuración político-regional es específica y peculiar, lo que implica mayores equilibrios regionales e internacionales y por supuesto, diálogo . 

Está claro que las soluciones para unos no siempre sirven para otros, aunque el sufrimiento del ser humano allá donde se encuentre y cualquiera que sea su color o sus creencias, siempre ha de estremecernos.

Abdeslam Baraka

21 de febrero 2012

lunes, 20 de febrero de 2012

¡Ser unos de tantos!

Solo somos unos de tantos que fueron, que son y que serán. Pero cuando somos, debemos serlo plenamente, con dignidad, ambición, fuerza de voluntad y humildad. ¡No somos ni estamos para no ser!

Abdeslam Baraka
20 de Febrero 2012
@abdeslambaraka

Etre, parmi tant d’autres!

Nous sommes ce que nous sommes, parmi tant d'autres qui le furent, qui le sont et qui le seront. 

Mais lorsque nous sommes, nous devons l’être dans l’absolu, avec dignité, force de volonté et toute l’humilité.

Nous ne sommes pas pour ne pas être!

Abdeslam Baraka

20 Février 2012

sábado, 11 de febrero de 2012

Prisonnier errant dans la liberté des mots

Etre amoureux des mots, revient à en être prisonnier pour toujours. C'est aussi vrai, que seuls les mots nous permettent d'errer dans les méandres de la liberté; la notre d'abord puis celle des autres … peut-être!!!

Etre amoureux des mots, c'est donner un sens à sa vie.

L'alliance entre l'homme et le mot a fait naître des poètes, des philosophes, des leaders et d'éminents penseurs et écrivains, qui font le confort de notre vie spirituelle et affective, qui enflamment les sentiments et mobilisent les volontés.

L'alliance entre l'homme et les chiffres devrait faire le reste pour combler notre vie quotidienne. Pas sûr!… Plutôt un mirage de bien-être, constamment démenti par des réalités amères.

Abdeslam Baraka

Rabat le 11 Février 2012