lunes, 2 de enero de 2012

A hymn to the emigrant

I love my country
It covers two areas
My heart is big enough
And the pride of its glories

I love my country
Land of my ancestors,
The one that shelters me
Or the one that sees me born.

The sun, the whiteness of the snow
Only my dreams with me
Guide me and protect me
In my wanderings in the open field.

Heat and cold
Companions of the trip
I live my faith and forge
In effort, without further beating about the bush

I am sad or happy
I work to build
With aggressiveness and excellence
The mailons a future.

For myself and for my children
For deep humanity
I decline the struggles of the past
And all hostilities.

Fear not noble citizen
Of this great country that I love
My presence is only a means
For wills that sow;

Sow love and then leave,
Sowing Hope and follow his path
This is my way of writing
My sorrows and my joys cheerful.

Do not worry, one day I will go
When for sure, my time comes
Where I am, I'll wait
Where you will fill my company.

This world will remain the borders
Witnesses hatreds and phobias
Those who maintain these chimeras,
Finally give meaning to their lives.

person shall carry
Of this world any material
When he shall
As the immigrant to leave his land

Fear not noble citizen
get closer to the barriers
Free chains and ties
The memory and bitter taste

Abdeslam Baraka
Rabat August 20, 2011
Translated by Fatima Baraka

domingo, 4 de diciembre de 2011

Cuando el silencio se acaba

Los pueblos callan,
Los pueblos padecen
Dolor y sufrimientos
Y tantos engaños violentos.

Los pueblos resisten
Los pueblos viven
Por ver el amanecer
Que les invite a renacer.

Los pueblos aspiran
Y vivir en paz, merecen
No están en sus genes
Revueltas y rebeliones.

¿A quien invocar,
A quien llamar,
Cuando la llaga aprieta
Y que el abandono se hace grieta?

No hay peor presagio
Que la ausencia del ruido necesario
Sea la dulce voz del viento
O el clamor del ser hambriento.

Los pueblos deniegan el desdén,
Los pueblos saben también,
Cuando el silencio se acaba,
Como imponer la luz del alba.

Abdeslam Baraka

Rabat el 4 de diciembre de 2011




sábado, 3 de diciembre de 2011

Approche occidentale déroutante

Drôle d'approche, celle qui nous vient d'Occident. Le succès électoral des partis à référence islamique témoignerait-il à lui seul de la transparence des élections et de la solidité des démocraties naissantes du Sud? Certes, dans le cas du Maroc, le pari et les résultas des dernières législatives est avéré et non contesté. D'ailleurs, le pluralisme politique et syndical n'y date pas d’hier.

Parallèlement, l'Occident appelle à la circonspection et à la prudence face à la percée de ces récents courants politiques, tout en incitant à une certaine confrontation ou tout au moins, en insinuant l'existence d'une profonde dichotomie du religieux et du civil dans les sociétés du sud de la Méditerranée, à travers ce qu'il est convenu de dénommer, laïcité (Notons qu'historiquement le terme concernait la relation des catholiques non cléricaux avec l’église).

N'oublions pas la position occidentale, à l'issue des dernières et désormais bien lointaines élections libres et démocratiques de Palestine occupée. A cette occasion, le rejet de l'expression de la volonté populaire et la non reconnaissance de la parole souveraine du Peuple palestinien, bien que déconcertantes, étaient de mise.

En conséquence, force est de reconnaître que nous ne devons compter que sur nous mêmes, croire en notre action et oeuvrer pour le bien de nos peuples, en toute responsabilité. Nos choix sont faits pour nous mêmes d'abord et nous serons seuls à les assumer. Tout le reste n'est que chimères, faux espoirs ou déceptions gratuites.

Bien souvent les réactions extérieures ne relèvent que d'une certaine forme de diplomatie versatile pour ne pas en dire davantage, que seule la détermination et la constance parviennent à estomper. Faisons donc la différence entre cette pratique opportuniste et les engagements internationaux de principes et de choix stratégiques durables.

Abdeslam Baraka

3 décembre 2011

viernes, 2 de diciembre de 2011

Palabrerías sobre la Primavera Arabe

Numerosas fueron las palabrerías sobre la "Primavera Arabe". Unas ensalzaban el movimiento sin temer el fuerte olor a sangre, otras se enredaban en conjeturas temerarias. Pocas son los que se acercaban de la objetividad y muchas fueron las que perseguían propósitos nítidamente oscuros.

El hecho es que los países en donde realmente ha prosperado el movimiento tienen un denominador común. Son Pueblos que sufrían de regímenes militares disfrazados de civil a través de la hegemonía implacable del partido único.

Empotrar la condición de árabe a este movimiento constituye, a mi juicio, un sinsentido.

Rebelarse en contra de una dictadura militar, de un partido único o hasta en contra de un mercado inhumano y dominante, vuelve a ser lo mismo. 

¿A que viene entonces hablar de raza, lengua o religión? La indignación nunca fue el privilegio de unos sin otros.

2 de Diciembre 2011


Abdeslam Baraka

miércoles, 30 de noviembre de 2011

¡Decir basta a los mercados internacionales!!!

Ante la perdida de control de la crisis internacional, me arriesgo a pensar que el G20 no le queda mas opción que la de suspender, por un tiempo razonable, la actividad de las bolsas de valores. 

Eso permitirá retomar el aliento, fijar nuevas reglas financieras y evitar a los pueblos la sumisión indigna y deshonroso  a las conminaciones leoninas del nuevo mercado globalizado. 

No se puede encaminar hacia soluciones posibles estando entre la espada y la pared. 

¡A situaciones excepcionales, medidas excepcionales!!!

Abdeslam Baraka

30 de Noviembre 2011

Halte aux injonctions léonines des marchés!

Face à la crise financière internationale, je me risque à dire que les docteurs du Monde devraient opter pour la suspension des bourses des valeurs, le temps de reprendre le souffle, asseoir de nouvelles règles financières et préserver les peuples de la soumission aux injonctions léonines du nouveau marché globalisé.

On ne peut s'acheminer vers des solutions avec un couteau sur la gorge!!!

A situation exceptionnelle, mesures exceptionnelles.

Abdeslam Baraka

30 Novembre 2011

Les marocains et le « printemps »

Le Printemps est une saison que les marocains et les marocaines connaissent depuis bien la nuit des temps. Ils ont toujours su tracer, par eux mêmes, leur chemins à travers les espaces infinis de leurs montagnes, déserts et prairies. 

Ils ont également su garder les secrets du maintien des arômes particuliers de leur saison préférée, loin des pollutions ambiantes.

Abdeslam Baraka

30 Novembre 2011