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martes, 6 de mayo de 2014

Crises récurrentes et réformes infinies

La question qui ne cesse de se poser actuellement est celle des réformes. Tous les médias en parlent au point d’en faire un brouhaha indéchiffrable et bien entendu, les fameux commentateurs qui savent tout et parlent de tout n’y vont pas de main morte.

A croire que cela oblige les gouvernements à clamer eux aussi leurs réformes même si les résultats ne sont généralement pas au rendez-vous, avant l’échéance électorale visée.

Mais ces réformes présentées comme salvatrices, consistent en fait à pénaliser un citoyen qui n’est nullement responsable de ces crises, et n'envisagent, in fine, que la « remise en forme », d’une structure administrative tentaculaire, vorace et insatiable.

Mais qui procède à évaluer l'efficacité des réformes et la durabilité de leurs résultats?

Tous les programmes électoraux et de gouvernement, évoquent des réformes. A croire que leurs prédécesseurs n’ont rien fait ou qu’ils ont échoué sur toute la ligne. Comble de l’aveuglement, en attendant "l’heureux aboutissement" de ces réformes, les crises continuent ou se répètent. Bien entendu, il se trouvera toujours un bon orateur pour transformer les échecs en remèdes incontournables et nécessaires, gagner du temps et faire patienter l’opinion.

Disons le franchement, le recours à l’infini à la formule magique des "réformes", n'est pas la solution. C'est de la refonte d'un système dont il s'agit et de son adaptation aux réalités socio-économiques de chaque pays. C’est du control de cette satanée course effrénée au profit, à la profusion et à l'excès dont il s’agit aussi. Peut être même s’agirait-il tout simplement du rétablissement d’un mode de gouvernance fondé sur le service public, la notion du devoir et l’infaillible bon sens.

Ni le libéralisme (version casino actuel, où tout y passe), ni la mondialisation à marche forcée (au profit des multinationales), ne sont une fatalité.

Enfin et surtout, une société que l’on respecte, ne peut se transformer en laboratoire d'essai pour des gouvernements de passage, aussi "démocrates" soient ils.

Abdeslam Baraka
7 Mai 2014

domingo, 22 de julio de 2012

L'exemple à ne pas suivre

L'Occident est à la recherche d'une issue de crise. Au même moment, le Sud de la Méditerranée semble être encore en quête de définir un cap.

Certes, l'issue souhaitée par les uns, n'est pas chose aisée. Néanmoins, elle garde quelques chances d'aboutir dans des délais raisonnables, malgré les ravages qu'elle promet de laisser sur sa voie. Par contre, trouver le cap, le tenir ensuite, dépendra des vents et des marées. Encore faut il que le temps reste clément et que l'orage ne menace pas; pour ne pas trop brouiller la vue. C'est dire combien le cap des autres semble incertain, voire invisible à l’horizon.

Mais cette fatalité n'est pas forcément négative. Le Sud de la Méditerranée, a aujourd'hui, la chance d'éviter le mimétisme téméraire et dispose de la possibilité de scruter de nouveaux horizons pour enfin trouver Le Cap qui garantisse un développement durable et harmonieux.

L'exemple Occidental, s'est avéré en fait, n'être qu'un mirage et son effet sur les gens, plus qu'un horrible cauchemar. "Tout ce qui brille n'est pas or", disait-on. Plus que jamais, ce proverbe traduit une bien triste réalité.

Comment se fait-il que tant d'abondance, d'étalage de richesses et de puissance aient pu disparaître du jour au lendemain?

Ce qui demeure certain dans ce modèle, c'est qu'il laisse aux citoyens, in fine, le soin de payer de leurs maigres deniers les excès d'un système et les abus des ses acteurs principaux.

Ce n'était donc pas l'exemple à suivre!

Abdeslam Baraka

Rabat le 22 Juillet 2012

sábado, 8 de enero de 2011

Sonnet de crise

Peuples trahis et outragés
Mais banques enfin soulagées
Triste bilan de certains gouvernants
Dont le seul serment ne tient pas le vent.

Au jeu de bourse les voilà piégées
Mais qu'importe, si même assiégées
Elles peuvent compter, en son temps,
Sur de fidèles représentants

Revenons donc à nos esprits,
La politique renie et fait fi
Des promesses faites aux gens.

Rendons hommage, mes amis
Aux indignés, qui aujourd'hui,
Dénoncent tant de maux errants.

Abdeslam baraka
8 Janvier 2011