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domingo, 9 de diciembre de 2018

Gouvernance et prédécesseurs!

En politique l’échec comme la réussite sont rarement le fait de ceux qui les récoltent. Souvent, ce n’est que l’aboutissement de l’action ou de l’inaction d’autrui. De ceux-là même qui ont précédé dans la gouvernance.

9 Décembre 2018
Abdeslam Baraka

sábado, 17 de enero de 2015

L'erreur fatale, par vanité ou pour quelques sous de plus


Lorsque je lis des commentaires haineux ça ne m'ébranle nullement. Mais je sens de la peine pour ces personnes aigries par méconnaissance de la co-existence pacifique, de leurs intérêts propres, de l'histoire sanglante de l'humanité ou par simple ignorance intellectuelle, tout court.

Ceux, qui au lieu de penser à leur présent et à l'avenir de leurs propres enfants, donnent libre cours à leur côté schizophrène obscure et malveillant, sans discernement des risques qu'ils font encourir égoïstement à ceux qui les entourent ou s'en apparentent.

La liberté n'est pas synonyme de destruction. La liberté n'est pas l'apanage des anarchistes et des vandales. La liberté ne peut s'apparenter à l'outrage ni à l'invective. C'est bien pour cela que la liberté constitue un droit universel qui s'arrête là ou commence celui des autres.

Il n'est pas donné à un droit national, fut-il laïc ou religieux, d'imposer sa propre interprétation de valeurs au reste de l'univers. La liberté est un droit pondéré, réfléchi et équilibré qui permet de vivre en société, en bonne entente; aujourd'hui plus que jamais, dans un monde globalisé hétéroclite mais immensément riche par sa diversité.

Dénigrer son voisin ou offenser celui qui ne partage pas le credo dont on fait soi même un dogme, est tout simplement une aberration propre aux esprits simples et en désordre. Ceux là, ne méritent même pas qu'on leur prête une attention particulière; tout au plus, cela devrait nous interpeller pour alerter les esprits sains afin qu'ils ne s'en contaminent pas. Plus encore leur montrer les anomalies et les erreurs sinistres et mortelles de ces élucubrations moyenâgeuses.

Par les temps qui courent, nous avons plus que de raison de nous offusquer, de tant écouter et de voir nombre d'apprentis sorciers s'exprimer sur différents médias, qui sans discernement aucun, passent de la connaissance de l'économie, au politique ou aux religions et autres disciplines (toujours les mêmes), comme s'ils avaient la science infuse ou des révélations divines. Le pire est qu'ils n'ont pas conscience de leur incompétence.

Ceci étant, ils ne peuvent en aucun cas être absous du mal qu'ils diffusent pour quelques sous, en suivant la ligne éditoriale soufflée au travers d'un mini récepteur collé à leurs oreilles. Ils jouent un rôle, ils s'inclinent et en dernier ressort, finissent par se réfugier dans le concept de la liberté d'expression pour se couvrir et incriminer ceux qui osent manifester leur désaccord avec eux.

Ils oublient, ils font peut être semblant d'oublier, les méfaits de la pensée unique, du fascisme dont leurs propres parents ont été victimes il y a seulement quelques dizaines d'années. Ils sont sordides et dangereux.

Mais ils se consument, et par vanité, tentent d'entraîner, leurs opinions publiques, voire le reste du monde avec eux, dans un aventurisme fou, dans une confrontation gratuite, injustifiée et montée de toutes pièces, dans des laboratoires "d'intelligence stratégique" mais de culture à deux sous, exempte d'humanisme et de noblesse.

Abdeslam Baraka
17 Janvier 2015

sábado, 8 de enero de 2011

Sonnet de crise

Peuples trahis et outragés
Mais banques enfin soulagées
Triste bilan de certains gouvernants
Dont le seul serment ne tient pas le vent.

Au jeu de bourse les voilà piégées
Mais qu'importe, si même assiégées
Elles peuvent compter, en son temps,
Sur de fidèles représentants

Revenons donc à nos esprits,
La politique renie et fait fi
Des promesses faites aux gens.

Rendons hommage, mes amis
Aux indignés, qui aujourd'hui,
Dénoncent tant de maux errants.

Abdeslam baraka
8 Janvier 2011