Le jour où je partirai
Je serai heureux
La vie est pesante
Et de plus en plus
Nous savons y faire
Pour l’embrouiller davantage
Et la rendre invivable.
Des obligations nous retiennent
Les sentiments aussi
Mais loin d’en jouir
De s’éclater de rire
On s’ennuie à mourir.
Tourner en rond
En pensant avancer
Faisant place aux babioles
Pour tout quotidien
Voilà, qui plombe les ailes
Et vainc toute volonté
De prendre son envol
Vers les grandes étendues.
Eviter l’étouffement
Des espaces exigus
Où l’on se terre,
Où l’on se cache
Par nos choix délétères
Par crainte des inconnues
Serait-ce la seule issue?
Maybe celle du bonheur!
À ce prix point de rime
Ni tercet ni quatrain
Seule la quête infinie
De la lumière m’étreins.
Et de plus en plus
Nous savons y faire
Pour l’embrouiller davantage
Et la rendre invivable.
Des obligations nous retiennent
Les sentiments aussi
Mais loin d’en jouir
De s’éclater de rire
On s’ennuie à mourir.
Tourner en rond
En pensant avancer
Faisant place aux babioles
Pour tout quotidien
Voilà, qui plombe les ailes
Et vainc toute volonté
De prendre son envol
Vers les grandes étendues.
Eviter l’étouffement
Des espaces exigus
Où l’on se terre,
Où l’on se cache
Par nos choix délétères
Par crainte des inconnues
Serait-ce la seule issue?
Maybe celle du bonheur!
À ce prix point de rime
Ni tercet ni quatrain
Seule la quête infinie
De la lumière m’étreins.
Abdeslam Baraka
Rabat le 8 décembre 2019
Poesia llena de reflexión
ResponderEliminar