domingo, 1 de febrero de 2015

El poder popular nunca se apoya en la traición ni en la agresión al vecino

Ni con el apoyo del Rey Sebastián de Portugal y otros agresores extranjeros cómplices, pudo el traidor pretendiente al trono de Marruecos, vencer al Rey Legítimo Abdelmalek Essadi, apoyado por el fiel y valeroso Pueblo marroquí. Fue la batalla de Alcázarquivir o batalla de los tres Reyes con fecha del 3 de agosto de 1578.

Tampoco pudo ser la invasión de Bahia de Cochinos, en Cuba, apoyada por los Yankees extranjeros en abril de 1961, porque la patria no admite juegos sucios y compinches.

Los que pretenden poder sacar a sus Pueblos respectivos de sus crisis, alabado sea Dios, que lo hagan con su voluntad, sus mayorías de circunstancias y que asuman responsabilidades ante sus conciudadanos.

Pero que pretendan, partiendo de sus idealísimos, extender sus hazañas mezclando intereses propios y ajenos, apoyando segregación y separatismos en su entorno regional e incubar traidores a patrias y tierras vecinas, eso significa que siguen el camino erróneo del difunto Rey Sebastián y que ya tienen perdida su propia causa de antemano, sin ir mas lejos. 

Con este recordatorio histórico, pienso que Podemos entendernos y evitar a unos y otros nuevas desilusiones, para que viva la amistad y la relación histórica Hispano-Marroquí, en pro de los intereses vitales de dos grandes Pueblos vecinos y solidarios.

Juntos, Podemos dejar que el problema sea el de los traidores en extinción, de corruptos y responsables de desvío de ayuda humanitaria internacional y que nunca sea el de los trabajadores y luchadores sinceros por el bienestar eterno de sus propios hijos y sociedades.

Me choca, me estremece y me confunde, la foto que representa, a primera vista, a un joven idealista lleno de voluntad, junto al que representa la historia sangrienta de tantos españoles desaparecidos, legionarios asesinados, mujeres secuestradas, opresión en los campos de Tindúf y complicidad confirmada con el nuevo terrorismo internacional cuyas víctimas fueron, lamentablemente, hasta ahora españolas.

¡O es que el pelo largo hace que la memoria sea corta!

Abdeslam Baraka

1 de febrero 2015

jueves, 29 de enero de 2015

El sacrificio por la verdad

Me enseñaste tanto y lo agradezco
Como Padre, Madre, Maestro y Maestra,
Y me diste las primeras clases de la vida
Con valores de respeto, tolerancia y libertad.
Me ayudaste a forjar la personalidad
Propia y sincera, íntegra y honrada, que anhelo.

Tus enseñanzas las asumo
Las practico y comparto.
Pero a menudo me encuentro solo
Enganchado a principios de antaño
Que poca gente parece ejercer
Ni en su juventud ni en su vejez

¡Ahora, si puedes, dime que hacer!
¿Donde podría encontrar solidaridad,
amor ajeno al ser necesitado,
la mera lágrima frente a gente lastimada,
herida,  errantes y desterrados,
a la víctimas de salvajes e injustos?

Aprendí que no importaban las diferencias de creencias
Aprendí que Dios es compasivo y misericordioso
Que no hay diferencia entre razas y géneros
Que el ser humano, como toda creación divina,
Tan ínfimo que sea ante la majestuosidad del universo,
Merece atención debida, amor y concordia.


Lo que me enseñaste me sigue sirviendo, 
para reprobar, rechazar y condenar
Aunque me hace sufrir pensando en todo aquello
Me hace sentir inútil, débil y decaído
Pero no me ayuda a cambiar la realidad
Ni me conduce al sacrificio por la verdad.

Abdeslam Baraka

29 Enero 2015

martes, 27 de enero de 2015

الدين النصيحة


العالم الإسلامي في حاجة اليوم، إلى نطق ونصح العلماء الأجلاء المعترف بهم من طرف أمثالهم المتمكنين الأفاضل وليس إلى أقوال من تختارهم بعض القنوات الفضائية حسب خط تحريرها وإملاءات مموليها.

العقيدة واحدة والإسلام واحد. كتاب الله أولا وسنة رسول الله صلى الله عليه وسلم.

القدسية لا تجري على ما اجتهد فيه الفقهاء. فبالرغم من مكانتهم يبقون مرجعية نافعة وليست قاطعة.

والعبرة باعتراف أهل الذكر بهم وشروط إمامتهم، إذ لا تكفي في هذا المجال الشواهد الجامعية، التي تؤهل الطالب لولوج مجالات واسعة للبحث والتمكين لكنها لا تفتح له مجال إصدار الفتوى وفرض التفسير، ناهيك عن الغلو وما يليه.

"بسم الله الرحمن الرحيم

الر تِلْكَ آيَاتُ الْكِتَابِ الْمُبِينِ ( 1 ) إِنَّا أَنْزَلْنَاهُ قُرْآنًا عَرَبِيًّا لَعَلَّكُمْ تَعْقِلُونَ ( 2 ) نَحْنُ نَقُصُّ عَلَيْكَ أَحْسَنَ الْقَصَصِ بِمَا أَوْحَيْنَا إِلَيْكَ هَذَا الْقُرْآنَ وَإِنْ كُنْتَ مِنْ قَبْلِهِ لَمِنَ الْغَافِلِينَ ( 3 )"
صدق الله العظيم

 عبد السلام بركة

 26 يناير 2015 م

sábado, 17 de enero de 2015

L'erreur fatale, par vanité ou pour quelques sous de plus


Lorsque je lis des commentaires haineux ça ne m'ébranle nullement. Mais je sens de la peine pour ces personnes aigries par méconnaissance de la co-existence pacifique, de leurs intérêts propres, de l'histoire sanglante de l'humanité ou par simple ignorance intellectuelle, tout court.

Ceux, qui au lieu de penser à leur présent et à l'avenir de leurs propres enfants, donnent libre cours à leur côté schizophrène obscure et malveillant, sans discernement des risques qu'ils font encourir égoïstement à ceux qui les entourent ou s'en apparentent.

La liberté n'est pas synonyme de destruction. La liberté n'est pas l'apanage des anarchistes et des vandales. La liberté ne peut s'apparenter à l'outrage ni à l'invective. C'est bien pour cela que la liberté constitue un droit universel qui s'arrête là ou commence celui des autres.

Il n'est pas donné à un droit national, fut-il laïc ou religieux, d'imposer sa propre interprétation de valeurs au reste de l'univers. La liberté est un droit pondéré, réfléchi et équilibré qui permet de vivre en société, en bonne entente; aujourd'hui plus que jamais, dans un monde globalisé hétéroclite mais immensément riche par sa diversité.

Dénigrer son voisin ou offenser celui qui ne partage pas le credo dont on fait soi même un dogme, est tout simplement une aberration propre aux esprits simples et en désordre. Ceux là, ne méritent même pas qu'on leur prête une attention particulière; tout au plus, cela devrait nous interpeller pour alerter les esprits sains afin qu'ils ne s'en contaminent pas. Plus encore leur montrer les anomalies et les erreurs sinistres et mortelles de ces élucubrations moyenâgeuses.

Par les temps qui courent, nous avons plus que de raison de nous offusquer, de tant écouter et de voir nombre d'apprentis sorciers s'exprimer sur différents médias, qui sans discernement aucun, passent de la connaissance de l'économie, au politique ou aux religions et autres disciplines (toujours les mêmes), comme s'ils avaient la science infuse ou des révélations divines. Le pire est qu'ils n'ont pas conscience de leur incompétence.

Ceci étant, ils ne peuvent en aucun cas être absous du mal qu'ils diffusent pour quelques sous, en suivant la ligne éditoriale soufflée au travers d'un mini récepteur collé à leurs oreilles. Ils jouent un rôle, ils s'inclinent et en dernier ressort, finissent par se réfugier dans le concept de la liberté d'expression pour se couvrir et incriminer ceux qui osent manifester leur désaccord avec eux.

Ils oublient, ils font peut être semblant d'oublier, les méfaits de la pensée unique, du fascisme dont leurs propres parents ont été victimes il y a seulement quelques dizaines d'années. Ils sont sordides et dangereux.

Mais ils se consument, et par vanité, tentent d'entraîner, leurs opinions publiques, voire le reste du monde avec eux, dans un aventurisme fou, dans une confrontation gratuite, injustifiée et montée de toutes pièces, dans des laboratoires "d'intelligence stratégique" mais de culture à deux sous, exempte d'humanisme et de noblesse.

Abdeslam Baraka
17 Janvier 2015

viernes, 12 de diciembre de 2014

Mes questions restées sans réponses

Je me demande si la persistance, historiquement inédite, de la crise économique et sociale depuis 2008 n'est pas intentionnée et programmée: 

Gouvernements affaiblis, systèmes démocratiques ridiculisés et mis à l'index, droits sociaux bafoués, libertés publiques étouffées...etc, sans parler du dérèglement social, je dirais même mental chez les uns et les autres, qui menace l'autorité des États et laisse la porte ouverte à tous les extrémismes qui comme on peut le constater, pullulent dangereusement et se renforcent de manière injustifiée et inexplicable.

Il ne nous reste plus qu'à chercher ceux à qui la continuité de cette situation profite, là est la voie de sortie et celle de l'espoir de tant de peuples qui souffrent les pires des calvaires. 


Je ne saurais accuser ni excuser, ce serait trop prétentieux!

Mais comme le commun des mortels j'ai des questions qui me martyrisent et qui restent sans réponses.


Il souffle comme un air de folie bruyant ... et meurtrier.

Abdeslam Baraka
12 Décembre 2014

viernes, 28 de noviembre de 2014

عسى أن نعلم فنتواضع

شيئ من الوقار
وقدر من الإنصات
لعلمائنا الأخيار 
يكفينا عن المتاهات
ويجنبنا المعصيات...
لعلنا نكسب رضا 
ذو الجلال والإكرام

أمثال أولياء الله الصالحين
قدوة للضال منا والمستنير
ندعو الباري أن يكثر من أمثالهم
وأن ينير لنا بهم، 
نحن عباده، الطريق
عسى أن نعلم، ونتواضع له
... وهو الحق العزيز القدير.

عبد السلام بركة
الرياض في 29 نومبر 2014

martes, 6 de mayo de 2014

Crises récurrentes et réformes infinies

La question qui ne cesse de se poser actuellement est celle des réformes. Tous les médias en parlent au point d’en faire un brouhaha indéchiffrable et bien entendu, les fameux commentateurs qui savent tout et parlent de tout n’y vont pas de main morte.

A croire que cela oblige les gouvernements à clamer eux aussi leurs réformes même si les résultats ne sont généralement pas au rendez-vous, avant l’échéance électorale visée.

Mais ces réformes présentées comme salvatrices, consistent en fait à pénaliser un citoyen qui n’est nullement responsable de ces crises, et n'envisagent, in fine, que la « remise en forme », d’une structure administrative tentaculaire, vorace et insatiable.

Mais qui procède à évaluer l'efficacité des réformes et la durabilité de leurs résultats?

Tous les programmes électoraux et de gouvernement, évoquent des réformes. A croire que leurs prédécesseurs n’ont rien fait ou qu’ils ont échoué sur toute la ligne. Comble de l’aveuglement, en attendant "l’heureux aboutissement" de ces réformes, les crises continuent ou se répètent. Bien entendu, il se trouvera toujours un bon orateur pour transformer les échecs en remèdes incontournables et nécessaires, gagner du temps et faire patienter l’opinion.

Disons le franchement, le recours à l’infini à la formule magique des "réformes", n'est pas la solution. C'est de la refonte d'un système dont il s'agit et de son adaptation aux réalités socio-économiques de chaque pays. C’est du control de cette satanée course effrénée au profit, à la profusion et à l'excès dont il s’agit aussi. Peut être même s’agirait-il tout simplement du rétablissement d’un mode de gouvernance fondé sur le service public, la notion du devoir et l’infaillible bon sens.

Ni le libéralisme (version casino actuel, où tout y passe), ni la mondialisation à marche forcée (au profit des multinationales), ne sont une fatalité.

Enfin et surtout, une société que l’on respecte, ne peut se transformer en laboratoire d'essai pour des gouvernements de passage, aussi "démocrates" soient ils.

Abdeslam Baraka
7 Mai 2014