viernes, 14 de diciembre de 2012

Reto a los premios Nobel de economía y a ciertos adeptos


¿Quién dijo que el saneamiento de una economía, de una administración o de una empresa, pasa por reducir plantilla, echar a trabajadores a la calle y aumentar el desempleo y la pobreza?

¿Quién dijo que vale mas incrementar las ganancias de los bancos y las de sus grandes accionistas cubriendo con dinero público sus arriesgadas e imprudentes extravagancias, en vez de garantizar el empleo y el mínimo vital al conjunto de la sociedad?

¿Quién dijo que el voto popular solo sirve para acceder al poder, para luego ponerse al servicio de los mercados (casi clandestinos) y mirar de lo mas alto a la gente y preguntarles, quienes sois?

¿Quién dijo que este sistema económico y financiero, cruel y temerario, es una fatalidad y que de el no hay quien se libre?

¿Si nadie lo dijo o no se atreve a sostenerlo públicamente, en qué quedamos?

No hay duda de que existen economistas merecedores del premio Nobel pero ya va siendo hora de que recapaciten y que así lo clamen.

Abdeslam Baraka

14 de diciembre 2012
  

jueves, 6 de diciembre de 2012

Criaturas de Dios

Por fin creo que empiezo a aprender.

Cada vez más me cuesta matar a una hormiga o una mosca, por mas que su talla sea ínfima e irrisoria.

No llego a cuestionar que esos insectos tengan un alma que empequeñezca por su talla o su corta esperanza de vida.

Del mismo modo que respeto la vida humana y la convivencia entre semejantes, no puedo dejar de pensar en la posibilidad del buen entendimiento con el resto de las criaturas de Dios.

Abdeslam Baraka

6 de diciembre 2012  

Créatures de Dieu

J'hésite, désormais, à tuer une fourmi ou une mouche, pour autant que leurs tailles respectives soient infimes et dérisoires.

On ne peut contester que ces insectes ont une âme qui ne s'amoindri ni du fait de leur courte durée de vie ni de leur faiblesse apparente. 

J’observe …. et j’apprends.

A l'instar du respect que je dois à la vie humaine et à la cohabitation cordiale avec mes semblables, je ne peux m'empêcher de croire à la bonne entente avec le reste des créatures de Dieu.

Abdeslam Baraka

6 décembre 2012

miércoles, 5 de diciembre de 2012

Tragédies et yeux hagards

Ce qui se se passe en Egypte, en Tunisie, au Mali, au Nigeria et en Libye, c'est à ne rien comprendre! Le Yémen ne fait plus la une des journaux télévisés et la Syrie se meurt entre frères et non frères, en direct sur les médias arabes et non arabes. La Palestine pointe un moment puis s'éteint dans les méandres d'une information jugulée.

Le dialogue ("Choura"), principe immuable de l'Islam, serait-il absent du jeu ambiant et de ces terres? Les protagonistes, étant plutôt enclins au fratricide, tellement présent et en vogue par les temps qui courent, nous amèneraient-ils à conclure que les simples observateurs furieux et tristes que nous sommes, n'ont rien à y redire?

Serait-ce le signe d'une profonde ignorance ou tout simplement, celui d'une nature refoulée particulièrement néfaste d'un être humain qui coure encore librement par ces contrées désertes, qui pourtant se prévalaient de la renommée d'être tellement hospitalières, par tradition! Ce serait dommage pour une région qui a tant donné à l'humanité aussi bien sur le plan culturel que scientifique et bien d'autres enseignements.

Ce qui est certain, c'est que la communauté internationale semble se passer allègrement de ces tragédies humanitaires qui se multiplient devant nos yeux hagards, mais qui doivent certainement intéresser un guetteur inconnu, muet et sibyllin qui attend dans la pénombre, que sa proie soit mûre et affaiblie pour s’en délecter en toute sécurité, voir en toute impunité.

Je dirais même une impunité concédée.

Abdeslam Baraka

5 Décembre 2012

lunes, 3 de diciembre de 2012

Desafio a la democracia

No importa que el liberalismo actual sea salvaje o responsable.

No importan sus amenazas.

El necesita de las masas que conforman su clientela y triste felicidad.

Seamos responsables y resistamos a sus invectivas, esperando que los gobiernos democráticos lo hagan también.

¡Por ello fueron votados!!!

Abdeslam Baraka

3 de diciembre 2012